vendredi 1 août 2008

Fred

J’avais 22 ans, j’étais célibataire depuis à peine 2 mois, j’en étais à ma 4ième rupture survenue suite à l’infidélité d’un partenaire. On pourrait croire qu’on finit par s’habituer à ce genre de situation mais bien au contraire, ça fait plus mal de fois en fois ! J’avais plus envie de rien, j’étais dégoûtée par les hommes, par la vie… Je n’avais plus d’énergie, plus d’appétit, j’avais juste envie de dormir… de dormir pour toujours. J’aurais voulu mourir mais je crois que je n’avais tout simplement pas le courage de poser ce geste.

J’en ai parlé à ma mère, elle m’a traînée de force chez le médecin. Il m’a dit que j’étais en dépression majeure, qu’il devait me mettre en arrêt et me prescrire des l’anti-dépresseurs. Des quoi ? Pas question !!!..... J’ai dû accepter afin de rassurer ma chère petite maman qui était assise là tout près de moi à sangloter.

Le temps de ma ״convalescence״ je suis retournée vivre chez ma mère à sa demande. J’étais là depuis 1 semaine à ne rien faire du tout du matin jusqu’au soir, elle s’inquiétait et souhaitait que je sorte un peu avec mes amies, question de me changer les idées. Ai-je besoin de vous dire que je n’avais vraiment pas la tête à ça ! Elle a elle-même téléphonée chez une copine pour qu’elle passe me prendre.

Nadia m’a amené danser avec des ami(e)s à elle. Une fois arrivée sur place, je me suis installée au bar et je n’ai pas bougé de là de la soirée. Le barman avec son air sur de lui et un peu trop arrogant, n’arrêtait plus de me faire la conversation, à croire que c’était une soirée tranquille et qu’il n’avait rien de mieux à faire que de m’emmerder de la sorte, alors que la place était bondée ! Je restais polie mais il n’avait droit qu’a des réponses courte, je jouais l’indépendante afin qu’il comprenne que je n’étais pas intéressées. Lorsqu’il m’a payé un verre, je me suis permise de lui dire qu’il perdait son temps et que présentement je n’avais nullement envie d’avoir un homme dans ma vie.

Il m’a répondu spontanément avec aucune pudeur : ״ J’veux pas t’marier, j’veux juste te fourrer, criss !!!״ J’avais peine à y croire, est-ce qu’il venait vraiment de me dire ça ? Alors que je restais là bouche bée, il me regardait en riant avec son air de fendant. Je lui ai dis que je devais aller à la salle de bain et je suis allée rejoindre Nadia sur la piste de danse. Après lui avoir raconté ce que le barman venait tout juste de me dire, Nadia m’a dit que se n’était peut-être pas une mauvaise idée et que je devrais acceptée, que ça me ferais du bien…

Il restait quinze minutes avant la fermeture. Je suis sortie du club pour prendre un peu d’air et surtout pour me demander si j’allais vraiment faire ça, si j’étais capable de le faire. Pourquoi pas ? Je suis retournée le voir et lui ai dis que ça m’allait. Il m’a expliqué où était stationné sa voiture, il m’a dit qu’on allait commencer là et que si pour tous les deux ça nous allait, il m’amènerait chez lui. Il m’a remit sa clef et un petit sac de poudre blanche. Je l’ai fais sourire lorsque je lui ai demandé qu’est-ce que c’était. ״ De la CO-CA-ÏNE beauté !״ m’a-t-il dit en me demandant d’aller l’attendre dans son auto, le temps qu’il ferme son bar. Je suis partie sans rien lui dire, il riait encore ! J’ai souhaité une belle fin de soirée à Nadia et ses ami(e)s, elle m’a dit de bien en profiter et de l’appeler le lendemain matin.


Je marchais dans les rues mal éclairées, vers mon destin, vers celle que j’allais devenir. J’étais effrayée, je me suis alors dis qu’il pourrait me tuer si il le voulait, c’était un pur inconnu, je ne lui avais même pas demandé son nom. Mais je continuais d’avancer, de toute façon qu’est-ce que j’avais à perdre ! Arrivée à sa voiture, je me suis assise côté passager, j’avais les mains moites et toujours ce petit sac dans le creux de ma paume. J’avais dans ma main de la coke, alors que je n’avais même jamais fumé un joint. J’ai décidé de m’en faire une petite ligne… et là tout ce stress, cette peur est disparue ! Je me sentais bien, je crois comme jamais j’avais pu me sentir bien ! Je m’en suis fais une autre et une autre encore, mais que de toutes petites.

Après presque trente minutes à attendre là, il est arrivé. Il a ouvert la portière et m’a demandé d’aller à l’arrière, puisqu’on serait plus confortable. J’ai obéit sans rien dire, il m’a couché et s’est étendu sur moi, il était déjà dure, je sentais son érection sur mon sexe, j’avais déjà hâte qu’il soit en moi ! Il s’est mit à m’embrasser voracement dans le cou, dans le décolleté, il a retiré mon chandail, m’a léché les mamelons d’une telle habiletée, qu’il m’était difficile de me contenir, que je n’arrivais plus à contrôler mon désir pour lui, déjà de petits gémissements fuyaient d’entre mes lèvres. J’ai attiré sa main sous ma jupe, il a tassé ma petite culotte et il a enfoncé deux doigts dans ma fente, j’étais tellement mouillée que mon jus coulait le long de mes cuisses, toute en retenant ses doigts en moi, j’ai déplacé son pouce vers le haut afin qu’il stimule mon joli bouton en même temps. J’ai jouis, j’ai crié ! Il a laissé mon sein pour me regarder avec son petit sourire :״ T’es encore plus cochonne que se que je m’avais imaginé ! Ouf! me faire dire ça m'a tellement excitée! Toujours en maintenant ses doigts, je ne voulais plus qu'il arrête, j’en voulais encore ! Je l’ai poussé afin de m’asseoir, je lui ai demandé de se mettre à genoux, j’ai ouvert son pantalon pour laisser sa queue en sortir, elle était belle, grosse et bien bandée !!! Je l’ai mise dans ma bouche, je l'ai enfoncé profondément dans ma gorge, je l’ai sucé!!! Comme si m'a vie en dépendait. Je voulais tout donner pour qu'à son tour il m'en donne encore plus! En moins d’une minute il a jouit, il goûtait bon, il goûtait l'homme, il goûtait le sexe! Il a retiré sa main de ma petite culotte et m’a demandé si je voulais aller chez lui. ״ Si tu me dis d’abord comment tu t’appels ! ״ Il m’a dit qu’il s’appelait Fred. Il m’a demandé si il me restait de la coke, on s’en ait fait une ligne et on est parti chez lui.

On a baisé toute la nuit ! On s’est aussi poudré toute la nuit, pour être capable de continuer parce que lui comme moi nous étions toujours insatisfait, nous en voulions toujours plus ! Il m’a mit de toutes les façons imaginables, il m’a tellement fait jouir !!!! Il a été doux, sensuelle, tendre mais il m’a aussi tiré les cheveux, claqué les fesses, il m’a traité comme une bête de sexe, jamais personne ne m’avait fait vivre un tel moment. Après maintenant 9 ans, personne n’a su lui arriver à la cheville, Fred c’est la baise du siècle sans contre dit ! Vers midi nous sommes tombés d’épuisement et avons dormit jusqu'à 19h.

Lorsqu’on s’est réveillé, on a baisé ! Fred m’a demandé de lui parler, de lui parler de moi. Il m’a dit que la veille au club, si il ne m’avait pas regardé le cul, il ne m’aurait jamais parler parce que j’avais l’air d’un cadavre… j’avais l’air morne, j’avais l’air triste et que durant la nuit, il m’avait vu sourire, rire, crier de plaisir et que j’étais tellement plus désirable ainsi. Je lui ai raconté mon histoire, je lui ai dis que je détestais les hommes et que je n’en voulais plus dans ma vie. Il m’a dit que j’étais comme lui, que j’aimais le sexe, que ça se voyait, que ça se sentait et que jamais je ne pourrais vivre sans, il n’avait pas tord. Il m’a parlé de lui, il m’a dit qu’il n’avait jamais aimé personne d’autre que lui-même, qu’à l’intérieur de lui c’était froid, c’était vide. Mais que malgré ça, il adorait les femmes, il adorait les voir jouir et que toujours il voulait se surpasser pour elle. Il m’a dit que je pourrais aussi vivre ainsi si je le voulais et que je serais heureuse.

Fred est toujours mon ami, mon meilleur ami ! On se voit régulièrement, on se raconte nos baises et quelques fois on baise ensemble et c’est toujours aussi bon !

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